Wirtgen a fait une démonstration de force à l’occasion de l’inauguration de sa nouvelle base de service de Saint-Priest (Rhône), près de Lyon. Le groupe allemand avait rassemblé quinze matériels de concassage, de compactage, de mise en oeuvre sur ce site qui succède à son agence de Mions. Avec ses 1 300 m2 d’ateliers et de bureaux à Lyon, Wirtgen France peut offrir à ses clients régionaux une gamme de prestations plus large, des formations notamment, et plus flexible.
La maintenance d’une machine peut être réalisée entre le milieu de l’après-midi et le lendemain matin dans cet atelier doté d’une fosse en croix et d’un stock de 4 300 références de pièces détachées. 2,5 millions d’euros ont été investis dans le centre lyonnais « qui arrive à point nommé pour consolider nos parts de marché », observe Benoit Etienne, président de Wirtgen France dont l’activité a retrouvé l’an dernier son niveau le plus haut, équivalent à celui de 2008.
Avec 5 000 machines sur le marché français, la filiale du groupe allemand réalise un chiffre d’affaires de 90 millions avec 90 salariés, dont une quinzaine à Saint-Priest. Mais l’année 2015 s’annonce « un peu plus compliquée », convient Benoit Etienne, du fait des contraintes budgétaires des collectivités. Wirtgen France peut s’appuyer sur la force de frappe du groupe qui depuis l’acquisition de Benninghoven fin 2014 maitrise le cycle complet de la production routière. Un atout pour « rester un partenaire fort et fiable » des entreprises de travaux publics, comme l’a souligné Stefan Wirtgen, dirigeant du groupe familial allemand, présent à Saint-Priest.
La maintenance d’une machine peut être réalisée entre le milieu de l’après-midi et le lendemain matin dans cet atelier doté d’une fosse en croix et d’un stock de 4 300 références de pièces détachées. 2,5 millions d’euros ont été investis dans le centre lyonnais « qui arrive à point nommé pour consolider nos parts de marché », observe Benoit Etienne, président de Wirtgen France dont l’activité a retrouvé l’an dernier son niveau le plus haut, équivalent à celui de 2008.
Avec 5 000 machines sur le marché français, la filiale du groupe allemand réalise un chiffre d’affaires de 90 millions avec 90 salariés, dont une quinzaine à Saint-Priest. Mais l’année 2015 s’annonce « un peu plus compliquée », convient Benoit Etienne, du fait des contraintes budgétaires des collectivités. Wirtgen France peut s’appuyer sur la force de frappe du groupe qui depuis l’acquisition de Benninghoven fin 2014 maitrise le cycle complet de la production routière. Un atout pour « rester un partenaire fort et fiable » des entreprises de travaux publics, comme l’a souligné Stefan Wirtgen, dirigeant du groupe familial allemand, présent à Saint-Priest.
