" L’innovation est la clé du succès et de l’avenir ", a lancé Andrea Certo (photo), pdg d’Oil & Steel, en présentant à Intermat 2009 cinq de nacelles de nouvelle génération. Encore modeste avec un quatorzième rang mondial tous modèles confondus et un chiffre d’affaires 2008 qui approche les 200 millions d’euros, la marque italienne se revendique premier constructeur mondial de nacelles sur plateaux.
Directeur de la filiale française créée en 2003, Claude Zaugg cible la location, particulièrement les acteurs petits et moyens qui représentent 85 % de ses ventes. " En ce début d’année, les gros loueurs n’achètent plus, tandis que les petits poursuivent leurs investissements. Il est plus difficile pour les leaders de garder leur rang que de gravir les marches lorsqu’on a une place plus modeste, juge le dirigeant. " Le fer de lance d’Oil & Steel France est la série Snake Compact de nacelles sur porteur. Sur ce créneau très concurrencé, Claude Zaugg revendique 15 % de parts de marché. " Nos concurrents sont là depuis plus longtemps que nous, mais raisonnablement nous visons à terme 20 à 25 % des parts de marché " grâce à la réactivité du bureau d’études — " nous ne laissons pas vieillir nos modèles " — et à une forte proximité avec les clients. En 2008, la filiale française a réalisé un chiffre d’affaires de 9 millions d’euros en progression de quelque 25 % et 2009 s’annonce favorablement.
Directeur de la filiale française créée en 2003, Claude Zaugg cible la location, particulièrement les acteurs petits et moyens qui représentent 85 % de ses ventes. " En ce début d’année, les gros loueurs n’achètent plus, tandis que les petits poursuivent leurs investissements. Il est plus difficile pour les leaders de garder leur rang que de gravir les marches lorsqu’on a une place plus modeste, juge le dirigeant. " Le fer de lance d’Oil & Steel France est la série Snake Compact de nacelles sur porteur. Sur ce créneau très concurrencé, Claude Zaugg revendique 15 % de parts de marché. " Nos concurrents sont là depuis plus longtemps que nous, mais raisonnablement nous visons à terme 20 à 25 % des parts de marché " grâce à la réactivité du bureau d’études — " nous ne laissons pas vieillir nos modèles " — et à une forte proximité avec les clients. En 2008, la filiale française a réalisé un chiffre d’affaires de 9 millions d’euros en progression de quelque 25 % et 2009 s’annonce favorablement.