Manitou inaugure son centre de formation dernier cri

| |

Le constructeur s'est doté d'une infrastructure destinée à répondre aux demandes croissantes de formations de la part de ses concessionnaires.

Les sites web parasites sanctionnés !
Le nouveau Training Center de Manitou compte quatre grands ateliers. © Manitou
Manitou a inauguré le 14 octobre, dans son fief d'Ancenis (Loire-Atlantique), son Training Center. Cette nouvelle structure, implantée sur une surface de 1 600 m2 et comprenant quatre ateliers de 200 à 300 m2, a été spécialement conçue pour former les techniciens aux opérations de maintenance, d'entretien et de réparation des produits du groupe.
 
Outre les formations physiques réalisées sur place, le centre de formation bénéficie d'outils en mesure de répondre à une forte hausse des demandes de formations décentralisées, parmi lesquels trois salles dédiées à la formation à distance et un studio d'enregistrement. "En 2018, plus de 3 500 techniciens ont bénéficié de formations. 75% d'entre elles ont été réalisées à distance ou au sein des filiales du groupe, nous permettant ainsi de regrouper l'ensemble des concessionnaires de chaque région. Pour faire face à cette demande croissante, nous avons intégré des espaces dédiés au e-learning pour des mises à jour techniques ciblées, et à l'enregistrement de tutoriels qui répondent de manière qualitative aux formations décentralisées", explique Lionel Deneu, responsable du centre.
 
Maxime Deroch, président de la division Services & Solutions du groupe, ajoute : "Il est primordial de constamment s'adapter pour former nos techniciens qui, partout dans le monde, maintiennent ou réparent nos produits. Cet investissement s'intègre dans une vision plus globale, avec le déploiement de formateurs dédiés dans nos filiales." En complément, Manitou a par ailleurs mis en place une plateforme d'apprentissage qui lui offre la possibilité de suivre au plus près le niveau et les besoins de ses clients, à travers des outils de diagnostic de plus en plus performants en lien avec ses machines connectées.

Arnault Disdero